Le géoréréfencement est un point à faire très attention, comme tous les projets BIM, mais surtout car ARCHICAD et REVIT gère légèrement différemment le sujet.
Le géoréférencement Archicad est similaire à celui d'un ifc et correspond à des coordonnées octroyées au zero absolu ou à un point lié à un objet dédié à cet usage.
La correspondance des objets IFC/RVT, nécéssite que ton mapping IFC/RVT soit correct + un bon paramètrage au niveau d'ARCHICAD
Seul précaution du côté d'Archicad est d'octroyer les bonne classe au bon élément car les traducteurs d'export vers ifc sont tous très facile d'emploi et ceux fournis par Archicad sont de très bon points de départ. L'avantage est qu'avec Archicad les classifications peuvent être gérées librement à tous moment du projet sans que cela affecte la structure du projet ou des objets. Ainsi toutes occurrences peuvent recevoir n'importe quelle classe à tous moments.
La lourdeur de la gestion des IFC car REVIT doit convertir les IFC en un format compatible REVIT ( ifc.rvt),
à chaque nouveau IFC, revit fera un double rvt. Pour une utilisation fluide, je te conseille d'ouvrir le fichier ifc dans un fichier vierge, puis de lier le fichier ifc.rvt dans ton fichier hôte.
Le soucis d'une collaboration openBIM c'est que tous les acteurs de la conception BIM n'en sont pas au même niveau de maitrise de l'openBIM. Il n'est pas satisfaisant de devoir recourir à un doublon d'un ifc au sein de son environnement de travail. Archicad permet l'annexion d'un xref/dwg comme d'un ifc et même d'un rvt (tous substituables pour les mises à jour) et assure de fait un réel environnement de collaboration.