bonjour, je suis dessinateur/modélisateur et je travaille sur archicad depuis le printemps. J'ai des questions de méthodologie à résoudre concernant les altitudes/étages qui peuvent mettre dans la confusion certains collègues :
Je souhaite mettre en place des altimétries pour certains éléments constructifs de bâtiment de logement collectif en plus des dalles d'étages courants tels que niveaux d'acrotère de toitures terrasses et "demis" niveaux d'entrée (entrées de cages d'escalier selon altimétrie variable de la rue), entre autre. Ceci pour permettre d'y attacher les murs de sorte que l'ensemble puisse bouger si je modifie une altitude de niveau.
Certains collègues architectes sont désorientés par la multitudes de niveaux et ne savent plus sur lesquels travailler sans risquer de placer des cloisons à une mauvaise altimétrie. Ainsi, ils souhaiteraient que je limite les niveaux au étages courants et que je modifie manuellement les assises des murs (par exemple : mur d'acrotère +30cm ou mur de l'entrée B à -13cm...etc
Ceci ne me parait pas aller dans le sens d'une utilisation de l'intelligence d'archicad puisque source d'erreur ou d'oubli dans le cas de modifications de niveaux altimétrique. c'est également chronophage.
Est il correcte de leur proposer :
1/ de conserver mon mode de gestion de niveau multiples dans l'organisateur d'archicad sous l’icône => "plans de modèle" ou "plan de projet" (nom différent selon V17 ou V18)
2/ de leur proposer de travailler uniquement sur certain niveaux d'étages courants (R+1, R+2 etc) qui seraient accessible via l’icône "plan de vue" dans une liste qui ne comporterait pas tous les niveaux intermédiaires dont j'ai besoin pour contrôler la modélisation.
La deuxième question qu'on me pose dans ce cas est :
les ingénieurs qui recevront la maquette numérique en IFC vont-ils s'y retrouver avec tout ces niveaux intermédiaires? n'est-ce pas une usine à gaz? (certains d'entre eux on Revit structure)
Merci pour votre avis
Je souhaite mettre en place des altimétries pour certains éléments constructifs de bâtiment de logement collectif en plus des dalles d'étages courants tels que niveaux d'acrotère de toitures terrasses et "demis" niveaux d'entrée (entrées de cages d'escalier selon altimétrie variable de la rue), entre autre. Ceci pour permettre d'y attacher les murs de sorte que l'ensemble puisse bouger si je modifie une altitude de niveau.
Certains collègues architectes sont désorientés par la multitudes de niveaux et ne savent plus sur lesquels travailler sans risquer de placer des cloisons à une mauvaise altimétrie. Ainsi, ils souhaiteraient que je limite les niveaux au étages courants et que je modifie manuellement les assises des murs (par exemple : mur d'acrotère +30cm ou mur de l'entrée B à -13cm...etc
Ceci ne me parait pas aller dans le sens d'une utilisation de l'intelligence d'archicad puisque source d'erreur ou d'oubli dans le cas de modifications de niveaux altimétrique. c'est également chronophage.
Est il correcte de leur proposer :
1/ de conserver mon mode de gestion de niveau multiples dans l'organisateur d'archicad sous l’icône => "plans de modèle" ou "plan de projet" (nom différent selon V17 ou V18)
2/ de leur proposer de travailler uniquement sur certain niveaux d'étages courants (R+1, R+2 etc) qui seraient accessible via l’icône "plan de vue" dans une liste qui ne comporterait pas tous les niveaux intermédiaires dont j'ai besoin pour contrôler la modélisation.
La deuxième question qu'on me pose dans ce cas est :
les ingénieurs qui recevront la maquette numérique en IFC vont-ils s'y retrouver avec tout ces niveaux intermédiaires? n'est-ce pas une usine à gaz? (certains d'entre eux on Revit structure)
Merci pour votre avis