Jean-Christophe THOMAS a écrit:
Bonjour,
Nous travaillons dans le domaine de l'exploitation pour le Secteur de l'Immobilier Social (Groupe SNI, Côtes d'Armor Habitat, Habitat 29 ....)
Sur ce secteur d'activité il existe plusieurs solutions de GMAO avec des points d'entrée très différents, afin de simplifier l'interopérabilité entre la maquette numérique et les solutions métiers de nos clients, nous avons mis au point la méthodologie suivante :
- une charte IFC dédié aux besoins métiers de nos clients (pas de vents favorables, à qui ne connait pas son port)
- un hub (HUB'Im) qui permet de vérifier que la charte a été respectée (checker), et qui permet de générer facilement à partir des classes d'objet chartées les interfaces de communications avec les différentes solutions utilisée dans notre secteur d'activité.
Nous travaillons actuellement avec Bouygues construction NE sur le Tribunal de Lille.
En effet, Jean Christophe avec l'aide d'une société que l'on connait bien (
http://www.bimdata.io/) met en effet en place des méthodes très pertinentes pour l’intégration de la maquette IFC aux logiciels d’exploitation/maintenance des bailleurs sociaux.
Mais je pense que le sujet est plus orienté FM Tertiaire ici, et donc pour moi le COBIe reste le meilleur format.
Jean Goyat a écrit:
Le logiciel est important mais quelles données et leur format l'est encore plus. COBie offre une structure générique qui permet facilement d’intégrer la maquette (en format IFC ou autre, l'IFC n'est pas le format le plus souvent recommende si tous les modeles sont .rvt) a des systèmes FM tel que Ecodomus.
Le dictionnaire de données a intégrer devrait être fournit par le client en concertation avec les employes de la maintenance et c'est la partie la plus compliquées et la plus frustrante.
Pour ma part, je préfère avoir un base de données séparée qui facilite l'entree et l'edition des données tout en séparant la partie géométrie de la partie metadata. Ensuite seulement je la lie au modele (dans Revit, BIMLink - Navisworks, DataTools, etc.)
Pour reprendre ce que dit Nicolas, tout depend du logiciel utilisé en exploitation (pour ce qui est du format) et de ce que le client recherche (pour le contenu).
Pour quelle(s) raison(s) favoriser la déconnexion entre géométrie et données ?
N'y à t'il pas de risque d’erreurs et d'oublis ? Comment assurez vous la complétude des informations de tout les éléments sans l'aide du GUID ?
J'ai vu récemment que Navisworks associé à un plug-in permet l'aller-retour entre le tableur et la maquette.
Quelqu'un à t-il pu tester cet outil ?
Lien vers la vidéo de présentation du plug-in :
https://www.youtube.com/watch?v=L0O0wz0uh2w