Bonjour à tous,
je fais régulièrement face à des problématiques de positionnement de maquettes dans des projets, notamment quand je travaille avec des IFC provenant de nombreux logiciels. Ce soucis est synonyme de beaucoup de perte de temps pour moi-même pour trouver l'origine du problème, et pour les corps d'état qui n'arrivent pas à travailler avec la maquette de l'autre...
Le géo-référencement est pour moi une des base fondamentale du BIM mais je commence à m'interroger sur sa réelle utilité. Je ne parle pas ici de la bonne superposition entre les maquettes de tous les lots, ça c'est essentiel pour collaborer mais je parle du référencement topographique en Lambert (ou autre système). Quelle est l'utilisation aujourd'hui de la localisation des maquettes numériques? Un lien avec le SIG? Si oui est-ce vraiment utilisé ou est-ce un projet? Est-ce que c'est vraiment la maquette numérique qui y est insérée ou une grossière copie volumétrique remodélisée?
Le fait de ne pas savoir qui est l'utilisateur final de cette donnée et à quoi elle sert commence à me faire dire, que nous devrions collaborer en repère local, avec un point connu en 0,0 tout simplement (je conserverais la composante Z nécessaire au projet), quitte à modifier ce point en fin de projet si nécessaire. J'ai l'impression qu'on réduirait ces pertes de temps et que finalement ça ne gênerait pas grand monde. Pas même le maître d'ouvrage qui ouvrira ses maquettes une à une, et pas un site complet.
J'ai dans un projet actuel un exemple précis de problèmes rencontrés. Une maquette Rhino se superposait à la base correctement à une maquette Revit, dans Revit, mais pas en IFC dans un viewer ou dans Navisworks. Après manipulations et recalage, celle-ci est cette fois bien positionnée en IFC mais doit être recalé dans Revit... Et ce n'est pas un problème de coordonnées projet ou partagées. Bref, peu importe quel positionnement est le bon, ce décalage gêne forcément un ou plusieurs intervenants du chantier.
Avez-vous été confronté à cette problématique de maquettes qui ne se superposent pas et qui finissent par être recalées manuellement (avec les risques que cela comporte...)? Avez-vous déjà procédé avec des maquettes calées en 0,0 puis géolocalisées ensuite?
Selon votre corps de métier, avez-vous besoin des coordonnées Lambert pour travailler ou savez-vous travailler dans un repère local?
je fais régulièrement face à des problématiques de positionnement de maquettes dans des projets, notamment quand je travaille avec des IFC provenant de nombreux logiciels. Ce soucis est synonyme de beaucoup de perte de temps pour moi-même pour trouver l'origine du problème, et pour les corps d'état qui n'arrivent pas à travailler avec la maquette de l'autre...
Le géo-référencement est pour moi une des base fondamentale du BIM mais je commence à m'interroger sur sa réelle utilité. Je ne parle pas ici de la bonne superposition entre les maquettes de tous les lots, ça c'est essentiel pour collaborer mais je parle du référencement topographique en Lambert (ou autre système). Quelle est l'utilisation aujourd'hui de la localisation des maquettes numériques? Un lien avec le SIG? Si oui est-ce vraiment utilisé ou est-ce un projet? Est-ce que c'est vraiment la maquette numérique qui y est insérée ou une grossière copie volumétrique remodélisée?
Le fait de ne pas savoir qui est l'utilisateur final de cette donnée et à quoi elle sert commence à me faire dire, que nous devrions collaborer en repère local, avec un point connu en 0,0 tout simplement (je conserverais la composante Z nécessaire au projet), quitte à modifier ce point en fin de projet si nécessaire. J'ai l'impression qu'on réduirait ces pertes de temps et que finalement ça ne gênerait pas grand monde. Pas même le maître d'ouvrage qui ouvrira ses maquettes une à une, et pas un site complet.
J'ai dans un projet actuel un exemple précis de problèmes rencontrés. Une maquette Rhino se superposait à la base correctement à une maquette Revit, dans Revit, mais pas en IFC dans un viewer ou dans Navisworks. Après manipulations et recalage, celle-ci est cette fois bien positionnée en IFC mais doit être recalé dans Revit... Et ce n'est pas un problème de coordonnées projet ou partagées. Bref, peu importe quel positionnement est le bon, ce décalage gêne forcément un ou plusieurs intervenants du chantier.
Avez-vous été confronté à cette problématique de maquettes qui ne se superposent pas et qui finissent par être recalées manuellement (avec les risques que cela comporte...)? Avez-vous déjà procédé avec des maquettes calées en 0,0 puis géolocalisées ensuite?
Selon votre corps de métier, avez-vous besoin des coordonnées Lambert pour travailler ou savez-vous travailler dans un repère local?